Introduction (Jeudi 14 juin 2012 19H00 Qc Animation.)

Il y a quelques années à peine, un changement d’air à vue le jour dans les quartiers généraux de la royauté jadis d’Hastanie, désormais plus ouverte aux autres cultures l’entourant. Le danger de cette royauté était fragile, suite à la mort de Démélyan Seymour, son fils a pris le pouvoir à titre de Prince. Cependant, qu’elle était son véritable pouvoir au sein de Citria ? Était-ce un pouvoir légitime?

Citria, avait dès lors, un prince de 10 ans à ce moment précis, qui n’avait que l’expérience que son père lui avait montré, mais à 10 ans c’était bien peu pour diriger un citée entière. Était-il le successeur que l’Hastanie voulait ou était-il un choix que la Haute Noblesse cette période voulait…

Depuis ce temps, Citria avait perdu de sa splendeur, divers nobles avaient disparus ou ont simplement quitté les terres de Citria, laissant vide, des sièges importants dans la cité. La blanche devenait grisonnante avec le temps, perdant de cette dite beauté. La population avait déserté quelque peu, croyant qu’il en était mieux ainsi pour eux, les coffres de l’économie se remplissait, mais la population n’en avait guère de ristourne, même des nobles, ne réussissaient pas à avoir les dues que leur terre leur rapportait. Comment se fait-il qu’une citée aussi grande et aussi riche en ressource, pouvait-elle faire régner paix et prospérité, alors qu’elle ne se souciait même pas de ses propres citoyens qui faisait tout pour aider Citria à être aussi resplendissante…

Le doute planait toujours, la ville était toujours à risque d’attaque, d’autant plus que l’ancien Sénéchal Lannis Heurgon avait été repéré, du moins son repaire navale avait été détecté dans les eaux non loin des terres Citriennes. Qu’attendait-il au juste avant de continuer ses ravages à citria? Citria était toujours sur le qui-vive, l’armée était toujours en patrouille, des espions avaient été envoyé, afin de voir les personnes qui pouvaient bien encourager un aussi folle, timbré et sauté que cette homme, qui avait causé la mort d’au moins un Roi, du moins qu’on avait pu reconnaître… Avait-il fait plus de victimes ? Qu’elle est son plan? Nul ne le savait.

Citria vivait donc, d’un côté, la mal gérance de sa cité, de son économie et de ses citoyens, par un Prince peu enviée. Citria devait-elle rentrée dans une nouvelle Ère, devait-elle ce tournée vers une nouvelle gestion de citée ? Devait-elle laissé les citoyens décider qui devrait aller au pouvoir…?

Un petit groupe de révolutionnaire, très peu connu à ce jour, ce laissant peut connaître, commençait à implanter une certaine idéologie, que plusieurs personnes semblaient vouloir aspiré…

Leur intention n’était pas connu de tous, mais leur emblème semblait surprendre et attirer plusieurs personnes.

- Superbia, libertas, electio, aequitate et prosperitatem.

Paysan Nbre de messages : 169 Age : 39 Inscription : 06/12/2011

On pouvait voir depuis quelque jours le retour dans les rues de la Citée du Capitaine Sarion qui observait et écoutait ces fameux révolutionnaire et s'occupais a voir que le tout se déroule dans le calme et controlais ceux qui voulait en faire un peu trop et se genais pas a mettre les tete forte en cellule quelque heures.

Mais meme avec ces certaines arrestation il garda une écoute attentive a ces révolutionnaires mais surtout a leurs messages et leurs buts précis.

Errant Nbre de messages : 2 Inscription : 07/05/2012

Valamir quant à lui fut un peu surprit sur le coup, mais eu un bref sourire au coin des lèvres et se remémora se qu'il avait fait lui aussi lors de la révolution des Libertins. Il passa donc sa main sur son menton et acquiesça de la tête doucement et parti un peu plus loin pour discuté avec quelques personnes de se nouveau mouvement de protestation pour voir ce qu'il adviendrait de se mouvement et comment il agira pour contré le Prince. Il serait prêt même à les joindre s'ils lui demandaient...

Citadin Impliqué Nbre de messages : 797 Age : 31 Inscription : 21/02/2007

L'adolescente, qui n'avait plus rien d'autres à faire que de traîner à Citria, qui n'avait plus nul part d'autre à traîner qu'à Citria, et qui, avouons, était au fait de tous les petits trucs illégaux à Citria par sa nature, ma foi, illégale, n'avait pas tarder à être mis au fait de la chose. C'est ainsi que plutôt que d'afficher un air enthousiasme et enjoué à l'idée d'un groupe qui se lève contre le prince, un long rire d'amertume éclata sur la place publique.

C'est ainsi que plutôt que de saluer les mystérieux monsieurs sortis des fourrés, elle étira un sourire.

- Qu'ils abandonnent ! ajoutait t'elle au travers dudit rire.

En effet... Drôlement, la révolution civile avait jadis été lancée. Il y a peu. À son couronnement, pour être tout exact. Un long et lourd débat sur sa légitimité qui avait scié le peuple en deux. Débats sur la place publiques, conflits familiaux, retournements civiles de situations, nouveau souffle à Citria par cette simple révolution native puis... étouffée. Pas volontaire, sachons. On ne sait trop pourquoi. Un bon jour, dit-on, Lyan et son fiancé, le Sire Maelan, avaient été conviés à la Cathédrale, et en étaient ressortis, l'un ébahi, l'autre rageur.

Après tout, l'un était pro-peuple et l'autre pro-noble. Mais pourquoi cette rage ?

On ne se bat pas contre les Cilias.

Échouez, ou gagnez et soyez hérétiques, vous qui osez contredire la voix de votre Cilias. Allumez les buchés ! Préparez le bois ! Libérez les chambres de rééducations, que cela ne presse ! Un groupe entier de révolutionnaire hérétiques, allant à l'encontre de la parole des entitées s'empressent à vos portes, impatients de vos châtiments !

Et l'adolescente là-dedans ? Aussi amnésique et hérétique que les autres, probablement. On ne rate pas un bateau quand ça promet de se désennuyer. Surtout pas quand il vole ses propres idées, et risque fort bien de les réussir, de toute façon. Mettons l'orgueil et le pathétisme de la situation de côté, soyons solidaire.

Hop hop.

Citadin Ainé Nbre de messages : 1102 Age : 38 Inscription : 10/03/2007

La rumeur, elle l'avait entendue mais n'en avait au final que faire.
Les révolutionnaires avaient toujours finis chassés, bannit, trucidés,.. En gros, des perdants.
Et ce pauvre gamin devenu Prince. Elle eu un relan de pitié et de compassion pour lui... Pauvre enfant.
Son instinct maternel lui jouait encore des tours.
Elle laissa tomber un soupire puis reprit sa petite vie tranquille au sein de la ténébreuse, qualificatif oh combien surfait, Tyrimar.
Une très légère nostalgie parfois la prenait en repensant à sa ville natale mais bon, Aior n'avait finalement pas poursuivit la démarche de retour et une proposition meilleure lui avait été généreusement faite.
Elle se contenterai de tendre l'oreille au tumulte de Citria, par curiosité.

À l’apogée de la nuit en Citria, lors d'un soirée bien tranquille, où la populace continuais son petit train train habituelle, voilà que des événements arrivaient sans arrêt plus que celle-ci s’avançait dans la soirée...

Les gardes de la muraille envoyait des alertes sans cesse dans toutes les directions ! Définitivement ce n'était pas une illusion, on avait pu voir Lannis Heurgon, chevaucher son cheval Noir, sur les terres de Citria.

- Alerte ! Alerte ! L'homme le plus recherché se trouve à l'est de la Citée.

Pendant ce moment, de l'autre côté, à l'ouest, sur les eaux tumultueuses des landes Teiliennes, où Lannis avait implanter son Campement Navale, on pouvait y voir un amas de fumée Noir montée vers le Ciel.

Quelques citoyens arpentaient les rues, les terres à la recherche de ce criminel hautement recherché par ceux-ci pour la mort du Roi DeMontblanc, le seul que les Citriens soupçonnais d'avoir tué..

Alors que plusieurs Citriens se trouvaient à l'extrémité du quai de Citria pour y voir les flammes s'élever dans les airs. Subitement, une alerte retentissait au SUD de citria près des terres agricoles.

- Alerte ! Alerte ! L'homme le plus recherché se trouve devant la porte SUD près des terres agricoles.

C'est alors, que tous les citoyens, gardes et paysans se dirigeait vers les lieux, où un révolutionnaire les attendaient avec un homme ensanglantée, visiblement Lannis Heurgon à première vue, mais nul ne pouvait prendre de chance, se disant que celui-ci était peut-être un imposteur. Lannis avait été prit au piège, par un révolutionnaire qui se trouvait dans la ferme qu'il allait soit disant brûler, seulement le révolutionnaire, se trouvait derrière le bétail et les ballot de foin du fin fond de la Ferme. Pour un révolutionnaire, qui cherche à changer les choses, c'était une occasion importante de se faire valoir par des membres de la civilisation Citrienne.

Tous entouraient de loin ou de proche lannis qui gémissait de sang au sol, le visage ensanglanté, il avait reçu en plein visage, un coup de colonne de bois en plein visage par le révolutionnaire. Lannis toujours au sol, riait constamment, ayant difficulté à s'exprimer au moment de l'arriver de tous, il riait de tous, qui était en lié de proche avec la Noblesse, comme il l'a toujours fait.

Durant les discutions des citoyens envers Lannis, le veillard, extirpa de son pantalon une dague qu'il avait tenté de planté dans le pied d'Élyane, qui se trouvait à proximité de celui-ci.

Lannis fût amener en goêles où il garde son rire, son sourire mesquin, il se défilait de certaine question en discutant avec d'autre où lieu de l'interrogateur. Il narguait ceux, qu'il avait pu sudoyé afin de devenir Chargée de la reconstruction de Citria.

Ce veillard, désormais emprisonné, chuchotta à l'oreille d'Elyane, après lui avoir demandé de s'approcher.. :

- Tu veux savoir comment j'ai tué les deux derniers Roi ?

Après un hochement de la tête et d'un réponse positive, il chuchotait toujours à l'oreille..

-Une fois la nuit tombée, alors que le Roi allait se mettre au lit, afin de se reposer de ses longues journée de travail, une fois, que la nuit était avancée, d'en dessous de lit je m'extirpait pour les poignardés, De Montblanc et Seymour ont été tué, martelé de coups.

- Et tu veux savoir avec quoi ? *disait le veillard, sourire au visage, les yeux scintillants*

- Avec l'épée Royale, trempé d'Odéon et Atlaon.

C'est alors que les personnes à charge de l'enquête, c'était dirigé vers la chambre du Prince, avant qu'un autre membre de la noblesse Royale, soit l'attaque d'un membre de Lannis.

Sous le lit, se trouvait l'homme vêtu de brun, voilée dague à la ceinture, prêt à attaquer le prince dans la nuit, cependant il fut prit au dépourvue à l'arriver d'Azakiel, Elyan et Ulnar dans la chambre du prince.

Une trappe à lequel les personnes y cherchait des indices..

C'était jadis, une porte d'échappement par le Roi DeMontblanc, advenant des problématique avec sa porte et que des criminels voulaient l'attaqué, cependant Lannis avait sudoyé avec des milliers de piécettes l'architecte de cette sortie d'échapement..

Pendant ce temps dans la Cellule d'Heurgon, il écrivait de son doigts, avait le sang qui coulait sur le mur de Pierre...

Par le mur je suis rentré, par les portes je me suis faufiler, par les flèches, je suis monté.

Paysan Nbre de messages : 168 Inscription : 20/04/2010

Et depuis l'incarcération du traitre, parfois un écureuil, parfois un corbeau, flânait de ci et de là la caserne. C'est à croire que même la nature était réveillée pour surveiller ce sombre individu qui voulait s'en prendre à l'ordre voulu par Odéon.

Citadin Impliqué Nbre de messages : 797 Age : 31 Inscription : 21/02/2007

La chasse était partie. Pour une raison qu'elle ignorait, Heurgon voulait la tuer. C'était à cause du nom de famille ? Comme c'est vilain, ces préjugés ! Elle n'avait rien de nobles, et pourtant, il insistait. Allez, va regarder sous le lit ! Va te faire potentiellement tué par le monstre caché sous le lit, Lyan, allez. Pfff....

D'accord, elle a risqué de se faire tuer en se penchant face à la plus grande angoisse de tous les enfants, accompagné de son pas-si-fidèle écureuil, pendant que Sarion protégeait le Prince. Chacun ses trucs. Mais maintenant... c'était personnel. Cette trappe... source de tant d'angoisses enfantines, traumatisant certainement le Prince pour le reste de sa vie... si, un affaire personnel.Le message sur le mur de la cellule d'Heurgon lui laissait arquer un sourcil. Quelques théories s'étaient néanmoins affirmées ;

Un ; Il y a une trappe sous le lit, qui s'ouvre avec une petite poignée.
Deux ; Il y a une trappe sous le lit qui... qui ?
Trois ; L'assassin est grimpé par la fenêtre et s'est glissé sous le lit.

Or, il fallait ouvrir la trappe s'il y avait. Si raconter des conneries sur le plancher sous le lit, balancé dans un coin de la pièce ne menait à rien, il fallait prendre de lourds moyens. La trappe, on ne la voyait pas. On était aveugles comme ça. Dans le doute, explosons. C'est orné d'un sourire que l'adolescente avait ses explosifs dans les poches, toute prête à faire éclater le plancher. Si passage secret il y avait, certainement que la trappe exploserait et dévoilerait son passage. Dans le cas contraire, la thèse de la fenêtre serait gagnante.

Maintenant, suffisait qu'à jouer les pyromanes.

Bon sang, heureusement uqe les nobles du palais la connaissait, des idées pour se faire engeôler par mégarde aux côtés du Tueur de Roi...