Annonce : -¤Les Écuries de Citria vendent¤-

Citadin Impliqué Nbre de messages : 543 Inscription : 21/02/2009

Les affiches étaient renouvelées

Citadin Nbre de messages : 417 Inscription : 02/02/2009

Ces derniers temps, Liam avait été surchargé. La missive tenait toujours, il la rencontrerait dans les prochains jours.

Citadin Impliqué Nbre de messages : 543 Inscription : 21/02/2009

Dès lors, plus rien ne serait vendu aux kheijans sans qu'un citoyen de Citria connu ne soit présent, ne cautionne leurs actes et s'avisent à rembourser et remplacer en cas de vol.

Citadin Impliqué Nbre de messages : 863 Inscription : 05/03/2009

Anais envoya une missive a Euryale.

"Pardonnez moi chère dame, j'ai encore en ma possession la monture que vous m'avez prêté, je tente de vous trouver depuis mon retour, mais avec le grand froid nous ne nous sommes nisi croisée. J'aimerais vous parler bientôt. Mes Valar"

Citadin Impliqué Nbre de messages : 543 Inscription : 21/02/2009

Au bas des affiches était piqué, d'une pointe d'aubépine, une petite note :

Services interrompus jusqu'à la réception des nouvelles clefs par l'Économie.

Citadin Impliqué Nbre de messages : 543 Inscription : 21/02/2009

L'affiche avait été renouvelée. Avec la guerre qui pointait, les écuries mettaient du leur pour les entrainements, plus que jamais.

*Laramir fit parvenir plis aux écuries à l'attention de damoiselle Rimbaldi pour y faire commande d'un destrier pour sa personne membre de Sphères Citriéne.*

Il était dit que bientôt, le Chevalier déchu prendrait contact avec la responsable des écuries, en l'absence de Dame D'Avalice, afin qu'ils conviennent de l'acquisition d'un jeune étalon fier et vigoureux.

Citadin Nbre de messages : 381 Inscription : 21/12/2008

Sur une des affiches, il était mit à l'évidence que Naros, l'étalon désormais décédé, contre les mots acerbes des Vizirs de Najar'him, se devait d'être remplacé.

Que ce soit par Broyeur qui, depuis presque une année, n'avait pas vu son maître, où un nouveau qui saura guerroyer convenablement.

Citadin Impliqué Nbre de messages : 543 Inscription : 21/02/2009

L'annonce était réaffichée, par un émissaire envoyé par Euryale, qui ne quittait plus beaucoup les bâtisses. Il était possible, pour rencontre, d'envoyer missive préalable à celle-ci. Ou bien encore aux damoiselles Félicia Sirion, Isabelle d'Avalice ou Mélandra Del'Khym.

Paysan Nbre de messages : 70 Inscription : 08/12/2008

Félicia était heureuse qu'Euryale eu enfin décider de révéler qui était ses compagnones de travailles. Enfin, tout les mérites cesseraient d'aller à Euryale seulement, et les bon gens de Citria pourrait enfin leurs adresser la parole afin de trouver leurs montures de rêves.

C'était certainement par manque de temps qu'elle osait dévoilé ses accolytes, sinon elle s'aurait garder les mérites bien encore longtemps. Enfin, c'était l'avis de Félicia.

Citadin Impliqué Nbre de messages : 543 Inscription : 21/02/2009

Jamais pourtant elle n'avait caché les noms de ses collaboratrices, au contraire. Elles les avaient souvent référées en cas d'absence comme en cas de présence, et jamais elle ne leur avait fauté en respect, jamais elle ne s'était approprié les mérites d'autrui. Mais peut-être, au vu de la rumeur insinuée par Félicia impliquant son manque précédent de reconnaissance de ses collaboratrices, devrait-elle se retirer des écuries où elle trouvait refuge, au vu de cette pique insidieuse lancée à travers la rumeur, blessante, même.

Car pour Euryale, Félicia aurait difficilement pu faire plus blessant. Au sein des écuries, les collaboratrices étaient traitées en égales, respectées comme telles. Les projets étaient soumis sur leurs babillards internes, afin qu'il y ait collaboration, comme au sein d'une famille, d'un tout soudé. Si Félicia jalousait, elle avait choisi un fort mauvais moment pour l'exprimer. Jamais il ne lui avait été rogné de son crédit, toujours ses projets auraient été élaborés en son nom et crédit, avec joie Euryale aurait collaboré.

Par le biais de cette rumeur qu'elle avait fait courrir, elle avait rendu Euryale plus amère encore. Elle refusait désormais de parler à quiconque, fuyait les écuries où elle se sentait reniée pour se perdre dans les bois. Était-ce le deuil? Était-ce les rumeurs sur ses affaires de coeur aux mauvaises tournures? Ceci? Ou la combinaison des trahisons et chagrins qui la rendait ainsi?

Mais désormais elle était quasiment comme animal sauvage, animal terriblement, cruellement blessé. Félicia aurait les écuries pour elle, avec le loisir de s'approprier tout le crédit et plus encore.